Pour un monde à hauteur d’enfant
Un manifeste en sept vertèbres, pour redonner au respect, à la tendresse et à la parole la place qu’ils méritent.
Une révolution douce commence ici.
Ce n’est pas un simple texte.
C’est une greffe symbolique, inspirée de mon propre chemin de reconstruction.
Une colonne vertébrale tissée de convictions, façonnée par les enfants que j’ai rencontrés, les douleurs que j’ai traversées, les mots que j’ai choisis d’offrir.
Ce manifeste est l’ossature du monde que je souhaite bâtir à travers Les aventures de Spoutnik : un monde où l’on ne prépare pas les enfants à la vie, mais où on les aide à la vivre pleinement, dès maintenant.
Les 7 vertèbres du manifeste
VERTÈBRE 1 : L’enfant est une personne entière. Pas un brouillon.
Nous ne préparons pas nos enfants à la vie :
ils y sont déjà.
Ils ressentent, ils pensent, ils souffrent, ils rient, ils aiment.
Nous leur devons le respect
maintenant, pas plus tard.
Le monde ne leur appartient pas "demain" : il les traverse déjà "aujourd’hui".
VERTÈBRE 2 : La bienveillance est un choix radical.
Ce n’est pas de la mièvrerie. Ce n’est pas une option pour les doux rêveurs.
C’est une posture subversive dans un monde pressé, compétitif, vertical.
Être bienveillant, c’est
refuser de nuire, même quand c’est plus simple.
Spoutnik en est l'incarnation à quatre pattes : il écoute, il accueille, il relie.
VERTÈBRE 3 : La relation est plus forte que la norme.
Un enfant en crise
n’a pas besoin de punition, il a besoin de lien.
Nous ne guérissons pas les blessures avec des règlements, mais avec des présences.
Les aventures de Spoutnik rappellent que le soin commence
dans la relation.
Le câlin, la parole, le regard : autant d’antidotes à la solitude toxique.
VERTÈBRE 4 : Personne ne se résume à ce qu’il fait.
Ni les enfants, ni les adultes.
Un harceleur peut être un enfant blessé. Une erreur ne définit pas une vie.
Chaque être mérite
la possibilité de se transformer, et d’être regardé autrement.
Le pardon n’efface pas : il libère.
VERTÈBRE 5 : L’imperfection est notre humanité.
Nous ne cherchons pas des enfants parfaits.
Nous voulons des enfants vivants, vibrant, créatifs, traversés de doutes.
Et pour cela, il nous faut
des adultes assez courageux pour être vulnérables.
Un monde meilleur commence quand nous disons : "je ne sais pas", "je me suis trompé", "j’apprends".
VERTÈBRE 6 : L’avenir se construit dans les petites choses.
Un mot. Un geste. Un livre lu à voix basse. Un chien posé au pied d’un enfant.
Ce sont ces détails qui changent une vie.
La révolution ne sera pas bruyante. Elle sera tendre. Et déterminée.
C’est à cette échelle que Spoutnik agit, chaque jour.

VERTÈBRE 7 : Ensemble, nous pouvons réparer l’horloge.
Le monde s’est fissuré. L’enfance s’effrite entre les écrans, les injonctions, les solitudes.
Mais il est encore temps.
Ce manifeste est une greffe. Une tentative de recoller les vertèbres brisées de notre société.
Une promesse : tant que nous croirons en la puissance du lien,
rien n’est perdu.
Ce texte est né dans les pas d’un thérapeute devenu auteur, et d’un chien devenu muse.
Pour en savoir plus sur mon histoire :
Vous êtes parent, enseignant, éducateur, thérapeute, citoyen du monde ?
Ce manifeste vous parle ? Il vous appelle ?
Alors rejoignez l’univers de Spoutnik. Parlez du livre. Offrez-le. Téléchargez les outils. Lisez avec les enfants. Transmettez.
La révolution commence avec un mot. Un regard. Une main tendue.
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